Tous les amateurs de bières savent que les meilleures viennent de la Belgique. Nous vous présentons justement l’une d’elles dans cet article, la St-Louis Premium Pêche. Il s’agit d’une bière de Belgique aromatisée à la pêche de la brasserie produisant la fameuse bière Kasteel, la Brasserie Van Honsebrouck. Pour mieux la connaitre et l’apprécier, retrouvez ici toutes ses caractéristiques et l’histoire de sa production.

Les principales caractéristiques de la bière

Dans la St-Louis Premium Pêche, vous apprécierez avant tout les arômes naturels et les saveurs. De cette manière, cette bière conviendra à tous les types de palais. Vous pouvez déjà lire dans le tableau ci-après ses différentes caractéristiques :

Les déclinaisons et variantes de la St-Louis Premium Pêche

La plupart des bières de l’agrandissement St-Louis étaient la St-Louis Gueuze et la Kriek Lambic. Les deux bières brassées avec du lambic ont connu un grand succès. Toutes les bières St-Louis avec des items communs sont brassées avec du lambic et du flabbergast avec des jus d’items normaux ou des arômes de griottes. Voici quelques autres cas :

• La St-Louis Premium Gueuze : Brasser une bière design de la vallée de la Senne à Emelgem ? La Gueuze Premium St-Louis illustre que c’est envisageable. Cette gueuze contient un assemblage de lambics jeunes et anciens, un brassin juste maturé sans impératif. Ce breuvage léger quelque peu acide offre un charmant équilibre entre netteté, douceur et gravité. Elle titre 4,5 % ABV ;
• La St-Louis Gueuze Fond Tradition : il s’agit peut-être d’une gueuze coutumière brassée à partir de lambic jeune et ancien. Pas du tout comme St-Louis Premium Gueuze, cette bière est non sucrée et non filtrée. Cela fait clairement ressortir le goût assez prononcé et typique des bières lambic. La combinaison avec les doux arômes de pommes jeunes élimine le besoin de plus. Il a une substance alcoolique de 5 % ABV ;
• La St-Louis Premium Framboise : elle est brassée sur une base de lambic et contient du jus de framboises Willamette. Cette bière aux framboises douce est parfaite pour ceux qui n’aiment pas les bières fortes. Profitez de cette bière fruitée surtout lors d’une journée ensoleillée. Elle titre 2,8 % ABV ;
• La St-Louis Kriek Lambic : cette infusion légère brassée sur une base de lambic contient le jus de cerises Oblacinska macéré pendant six mois dans la gueuze. Cet arrangement particulier se présente dans une bière blonde moderne à saveur de cerise. Trouvez la délicieuse séparation entre la douceur et le piquant des cerises. Il contient une substance alcoolique de 4 % ABV.

Peu importe l’occasion, ces bières ne manqueront pas de vous enchanter. Elles rehausseront l’ambiance de vos célébrations grâce à leurs saveurs uniques.

La description complète de la St-Louis Premium Pêche

Cette bière est brassée sur une base de lambic et contient du jus de pêche. Douce bière blonde aux pêches, la St-Louis Premium Pêche constitue le point culminant de ceux qui n’aiment pas les bières solides. Appréciez cette infusion fruitée par une journée ensoleillée, avec son taux d’alcool de 2,6 % ABV.

La St-Louis Premium Peche est un mélange de lambic, basé sur une gueuze lambic traditionnellement brassée avec l’expansion du sucre et du jus de pêche. Cette bière de produit naturel contient le moins d’alcool de toutes les bières blondes de l’étendue de Saint-Louis et, par expansion, la moins de toutes les bières blondes créées par Castle Brewery Van Honsebrouck à Ingelmunster. En 2001, la brasserie a présenté la ligne « Premium » St-Louis pour répondre à la demande de bières plus douces à base de produits naturels.

Comme la St-Louis Framboise, Premium Peche est pour ainsi dire l’assortiment du genre encore en génération. Ce pourrait être un désaltérant estival et fruité qui plaira à un large public très apprécié pour sa substance alcoolique faible et son caractère sucré. Ce brassin de produits naturels est créé à partir d’une Gueuze lambic conventionnelle. La Lambiek est brassée à la main depuis peu et vieillie en fûts de chêne. La Gueuze Lambiek conventionnelle qui sous-tend ce brassin est brassée avec du malt de grain, du blé non malté et des bounces. Le jus de pêche et le sucre sont alors inclus pour former St-Louis Premium Peach.

Au cas où vous ne sauriez tout simplement jamais que c’était une infusion de produits naturels. Ce breuvage est très clair, de couleur cuivrée avec une mousse douce et riche. Comme la kriek, la gueuze et la framboise, ce breuvage est servi dans son verre Saint-Louis Premium. Un riche vase à boire à pied.

La gamme St-Louis Premium est peut-être une superbe collection de boissons désaltérantes estivales et la pêche ne fait pas exception. Nous pensons que c’est la bière la plus douce que Saint-Louis ait besoin d’offrir. L’odeur de pêche n’est pas particulièrement prédominante et ressort plus dans l’odeur que dans le goût. Très sucré avec un arrière-goût légèrement acide. Comme ce breuvage contient un caractère exceptionnellement doux, il est parfait à l’apéritif ou dans la planification de nombreux desserts.

Le prix de vente de la St-Louis Premium Pêche

Ne manquez surtout aucune occasion de savourer cette bière. Que ce soit pour une soirée cinéma entre amis ou une fête à la maison en famille, la St-Louis Premium Pêche demeure la bière idéale. Son faible taux d’alcool la rend encore plus accessible. Sur le marché, vous la trouverez en format de 25 cl, ce qui facilite sa prise en main et son transport. Pour ce qui concerne son prix de vente, il varie selon le nombre de bouteilles. Voici quelques estimations pour vous orienter :

• Une bouteille de 25 cl : 1,80 € ;
• Un lot de 6 bouteilles de 25 cl : 8,50 € ;
• Un pack de 12 bouteilles de 25 cl : 16,40 € ;
• Un casier de 24 bouteilles de 25 cl : 31,45 €.

Retenez également que le prix pourrait changer selon les distributeurs et les points de vente. Commandez donc vos bières sur le site officiel de la marque.

L’histoire de la St-Louis Premium Pêche

Les origines de la brasserie débutent avec Amandus Vanhonsebrouck. Le créateur de la convention brassicole de Vanhonsebrouck était le patron de Werken. Lui aussi avait sa propre exploitation avec une laiterie, une brasserie et une distillerie. Lorsqu’il a lancé le seau à l’improviste en 1865, son fils Émile lui a succédé comme brasseur et président.

En 1863, Émile s’attaque à Louise De Poorter. Le jeune couple a déménagé dans la ferme familiale à Werken. En tout cas, le courant ne passe pas entre Louise et sa belle-mère. C’est pourquoi le jeune couple a choisi de quitter Werken pour démarrer sa propre brasserie ailleurs. En 1900, il s’installe dans une petite culture à Ingelmunster, d’origine Louise. C’est peut-être ainsi que la brasserie Sint-Jozef est née. Mère de cinq enfants, Louise dirige également la brasserie de manière productive. Son compagnon, Émile, est moins doué pour ce rôle. Alors qu’Émile approche de ses quatre-vingts ans, Louise choisit de céder la brasserie à leur enfant Paul. Avec son frère Ernest, il veille à maintenir le commerce familial sur l’eau malgré les ravages causés par la Première Guerre mondiale.

Déterminés, les deux frères ont supervisé la croissance de la brasserie avec un bâtiment de quatre étages à la pointe de la technologie. Ils disposent désormais d’une malterie, d’un silo de capacité pour le grain et de citernes pour l’eau. Le rez-de-chaussée devient un centre de diffusion, où sont présentés une quinzaine de fûts de 180 à 250 hectolitres. Ces progrès sont accompagnés par la célérité d’une vieille bière forte qui devient rapidement omniprésente.

Neuf longtemps après, une salle de brassage de pointe, une salle de maturation et une salle d’embouteillage totalisent les transformations. Les frères paient la moitié du travail en espèces et l’autre moitié en boisson (à l’époque c’était encore envisageable). Après la Seconde Guerre mondiale, les frères se sont spécialisés dans l’exportation et le brassage de pilsner. Cette réorientation, qui a rapporté un peu d’argent et d’efforts, n’apporte pas beaucoup d’argent au soutien.

Luc a été particulièrement prompt à proposer l’idée de créer une minute de brassage hors du commun : la gueuze. À l’époque, ce mode de brassage était pour ainsi dire brassé dans la vallée de la Senne. Luc achète du moût de lambic chez Van Haelen Frères à Uccle. À Ingelmunster, le moût est échangé vers les barriques où vieillit le Bacchus. En 1958, les bières St-Louis Gueuze et Kriek sont propulsées avec autorité. Les bières St-Louis sont un triomphe époustouflant. Surtout quand il s’avère que le moût Van Haelen a longtemps été un véritable biotope à l’intérieur de la brasserie d’Ingelmunster.

Longtemps après, Vanhonsebrouck a commencé à proposer de la gueuze en fûts et est ainsi devenu le plus grand producteur de gueuze belge. Un chardon à proximité de son concurrent, la brasserie Debutante-Vue à Bruxelles. Celui-ci, pionnier de la vitrine, est contraint d’exiger plus. Les bières populaires gagnent en notoriété dans tout le pays. Le plus souvent, le petit Luke choisit de brasser un breuvage d’aujourd’hui, appelé Brigand.

Le calendrier brassicole est dynamique en 2019, à commencer par le rebranding des bières Kasteel. Le château d’Ingelmunster s’efface de son titre pour laisser place à un aménagement lisse et avant-gardiste. En 2020, afin de lutter contre la propagation du coronavirus, le Michelle’s Pub est contraint de fermer ses passages. Fin 2020, la brasserie a ouvert une filiale dans l’État américain du Michigan. Avec Kasteel USA, la brasserie familiale contribue durablement au résultat de bières de qualité belge au sein des États unis.

En 2021, le Kasteel célèbre sa 30e commémoration. En l’honneur de cette commémoration, les noms de Kasteel Donker, Kasteel Tripel et Kasteel Rouge portent une petite touche d’euphorie. Au rythme du bouclier se trouve le numéro de proximité historique de la marque Kasteel.